Yvan Agnesina

Praille-Acacias
Informaticien retraité
Yvan Agnesina est père de deux jeunes adultes originaires de Thaïlande, une expérience personnelle qui l’a amené à fonder l’association Dekthaiyim. Après une carrière en informatique, il a pris sa retraite en 2023 et s’investit désormais pleinement dans la vie associative et citoyenne. Membre du Parti socialiste carougeois depuis plus de vingt ans, il a siégé au comité de l’EMS Résidence Les Pervenches ainsi qu’à la Fondation Bruckner. Aujourd’hui, il poursuit son engagement en faveur d’un service public de qualité au sein de la société SSR Genève, où il fait partie du comité et du bureau.
« Ce qui me tient particulièrement à cœur, c’est le vivre ensemble : la mixité sociale, culturelle et générationnelle. Et surtout veiller à ce que notre commune n’oublie pas ses jeunes, qui sont notre avenir, ni ses aînés, qui l’ont rendu possible. »

Ce que vous aimez dans votre quartier ?
Les voisins que l’on croise et qui prennent le temps d’échanger quelques mots, c’est agréable et sympathique.

Ce qui pourrait être amélioré ?
Avec le projet PAV, notre quartier est en pleine mutation et il sera très important de veiller à la qualité des aménagements publics tels que les espaces-verts et les espaces de rencontre qui sont indispensables au bien-être des habitants.

Quels sont les bons côtés de Carouge ?
Carouge est une ville avec un charme de village qui a une offre sociale et culturelle incroyable.

Quel est le lieu que vous fréquentez régulièrement ? Pourquoi ?
Je suis un fan de la bibliothèque, qui offre la possibilité de consulter ou d’emprunter, en plus d’une multitude de livres également en audio, des journaux et des revues, des bandes dessinées, des films et des séries sur DVD et même des jeux vidéos.

Votre coin secret à Carouge ?
J’adore me balader dans les rues du Vieux-Carouge, spécialement tard le soir ou au lever du jour. J’ai l’impression que les rues, les places et les bâtiments racontent leur histoire séculaire.

Pouvez-vous citer un ou une Carougeois·e qui mérite d’être (re)connu·e ?
Zep, le papa de Titeuf, à qui je pense chaque fois en passant à côté de l’école Jacques-Dalphin, mais également Michel Pont pour ce qu’il a amené au football communal, cantonal et national. Ces sont deux personnages qui ont toujours conservé un enthousiasme juvénile et qui ont su rester simples et sympathiques.

La caractéristique qui vous distingue ?
Peut-être l’éclectisme, je suis curieux de nature et je m’intéresse à tout; on n’a jamais fini d’apprendre.

Votre combat politique central ?
Le «vivre ensemble» ; je trouve que la mixité est très importante que ce soit sur le plan social, culturel ou générationnel. Et surtout veiller à ce que notre commune n’oublie pas ses jeunes qui sont notre avenir ni ses aînés qui l’on rendu possible.

Si cela était possible d’un coup de baguette magique, quel serait votre première action ?
Je ne crois pas à la magie, et surtout je privilégie la concertation avant l’action.