Ce que vous aimez dans votre quartier ?
L’esprit village avec ses bistrots et le platane de la rue du Pont Neuf.
Ce qui pourrait être amélioré ?
Il manque à Carouge une zone piétonne plus étendue et plus accueillante.
Quels sont les bons côtés de Carouge ?
Carouge reste une ville où tout le monde se connait. J’aime Carouge pour ses commerces, son artisanat et son offre culturelle si diversifiée.
Quel est le lieu que vous fréquentez régulièrement ? Pourquoi ?
Tous les commerces près de chez moi et en particulier le Mizzica pour son capuccino ; NCS et Cactus pour faire du sport ; Côté jardin et la Laiterie de Carouge pour bien manger !
Votre coin secret à Carouge ?
Le long de la Drize depuis le chemin du Bief-à-Dance, c’est absolument merveilleux quelle que soit la saison de l’année.
Pouvez-vous citer un ou une Carougeois·e qui mérite d’être (re) connu·e ?
Jacqueline Willener n’est pas suffisamment connue, pourtant il s’agit de la première femme à avoir siégé au Conseil administratif de la Ville de Carouge de 1979 à 1991 et avait été maire à six reprises. Cela mériterait largement qu’une rue porte son nom.
La caractéristique qui vous distingue ?
L’optimisme, la créativité et la recherche du dialogue
Votre combat politique central ?
La lutte contre l’injustice et contre les inégalités qui fragilisent toujours plus de personnes
Si cela était possible d’un coup de baguette magique, quel serait votre première action ?
Que tout le monde puisse boucler ses fins de mois sans angoisse du lendemain. Et je garderai la baguette pour un deuxième coup afin de créer davantage de liens humains et de tolérance.
