Ce que vous aimez dans votre quartier ?
Le calme, la douceur de vivre, l’entraide et la solidarité entre voisins, la proximité des commodités.
Ce qui pourrait être amélioré ?
Des petits endroits aménagés pour les adolescents, voire jeunes adultes, qui n’ont rien pour se rassembler autour du cœur de Carouge et n’ont pas forcément l’argent pour les bars ni l’envie de s’excentrer vers la Tambourine.
Quels sont les bons côtés de Carouge ?
Les petits commerces, la sympathie des gens et leur sourire. La dolce vita avec les différents marchés du mercredi, du jeudi et du samedi. Son cinéma emblématique, son nouveau théâtre, sa piscine, ses balades et ses décorations de Noël. Un ami lausannois me disait : « Mais, à Carouge, y’a vraiment tout, c’est fou ! ».
Quel est le lieu que vous fréquentez régulièrement ? Pourquoi ?
Le cinéma, car il a une âme, et le marché du jeudi soir, car l’ambiance y est toujours belle.
Votre coin secret à Carouge ?
Le petit square derrière le Conservatoire de musique rue du Marché 9.
Pouvez-vous citer un ou une Carougeois·e qui mérite d ; être (re) connu·e ?
Zep, le créateur de Titeuf
La caractéristique qui vous distingue ?
Battante malgré les embuches
Votre combat politique central ?
L’intégration avec un bon aménagement urbain à la base. Quelqu’un qui se sent bien chez lui sera bien dans sa ville.
Si cela était possible d’un coup de baguette magique, quel serait votre première action ?
Améliorer la traversée du pont de Carouge avec une bonne signalisation horizontale pour éviter les tensions entre piétons et vélo et les accidents récurrents.
